En mai 2024, Papier Machine a posé ses revues à Nantes pour deux soirées carte blanche avec la revue Bouclard sur une invitation de la Maison de la poésie. Retour sur la première, le jeudi 16 mai 2024 au café restaurant Marietta.
Cette fois, Papier Machine et Bouclard ont fait « revue ». A défaut d’imprimer, nous nous sommes contenté·es d’agencer, d’inviter, de préfacer, d’écrire un ours, des biographies etc., le tout autour du thème Porte-fenêtre. Il a donc s’agit de lectures croisées entre deux complices de Papier Machine et deux complices de Bouclard. Sont venu·es lire après avoir écrit spécifiquement pour l’occasion, sur le thème de la porte fenêtre, dans l’ordre d’apparition :
Antonin Crenn écrit des récits d’apprentissage, un journal poétique sur le web et des histoires érotiques avec Guillaume Marie. Terminus provisoire (L’œil ébloui), son prochain livre à paraître, jouera de la mémoire et de la géographie.
Mona Messine, auteure et éditrice, se définit comme une écrivaine du vivant. Elle a fondé la revue poétique Débuts, fait partie du collectif féministe Poétesse Gang et milite pour la démocratisation de l’écriture et la lecture. Elle a collaboré à la revue de Bouclard éditions et y publiera bientôt son 2e roman (après le repéré Biche en 2022 aux éditions Livres Agités).
Guillaume Marie est le fondateur du collectif Pou et membre occasionnel du Projet poétique planétaire. Chez Bouclard, il signe un premier roman fantastique, poétique et érotique, Les Watères du château (2022). Son dernier ouvrage est le récit de la vie d’un saint, Je vais entrer dans un pays (Corti, 2024). Avec Samuel Deshayes, il a notamment écrit une Fin du monde (Lanskine, 2023).
Poète et performeuse de Bruxelles, Milady Renoir écrit depuis un angle antisexiste et antiraciste. Elle joue des voix et des corps dans ses performances entre provocation et séduction. Ses ouvrages de poésie sont notamment publiés aux éditions MaelstrÖm.
A la lecture des interstices : Valentine Bonomo et Lucie Combes. A la technique et à l’habillage sonore : Leslie Doumerx.
Bouclard, c’est un mot d’argot, dérivé de l’anglais book, qui désignait au XIXe une librairie. Bouclard, c’est une revue, un laboratoire, un cabinet de curiosités. Elle s’adresse à un lectorat passionné, tout à la fois par l’objet littéraire et son expérience. Pas de critique (on se fout de l’actualité du livre) mais des lieux insolites et secrets, des à-côtés, des figures décalées, oubliées ou hors-normes. Bouclard c’est aussi « Tout est vrai ou presque », une collection de non-fictions narratives francophones ; « L’Officine », une collection de beaux petits livres à tirage limité, soigneusement imprimés et façonnés, signant notre amour des curiosités littéraires ; « Récidive » qui réédite des romans d’écrivain.es francophones du XXe siècle et enfin « 109 » pour les romans contemporains de jeunes autrices et auteurs.
Maison de la Poésie de Nantes : il y a au cœur de Nantes une maison qui semble très ancienne. Ses fenêtres, cependant, sont grandes ouvertes sur le présent, sur ce qui se dit, s’écrit, se crée aujourd’hui. Le quotidien avec ses pauvres mots, ses fausses promesses et ses projets obscurs ne nous suffit pas. Il nous semble que la langue poétique toujours plus neuve et inventive, que la poésie contemporaine plus multiple que jamais, parle de notre monde, et que nous pouvons tous l’entendre, pour peu que nous le voulions.Donner à voir, à entendre, mettre en lumière la liberté de parole, donc de pensée, c’est la raison d’être de la Maison de la Poésie de Nantes.
Bouclard, c’est un mot d’argot, dérivé de l’anglais book, qui désignait au XIXe une librairie. Bouclard, c’est une revue, un laboratoire, un cabinet de curiosités. Elle s’adresse à un lectorat passionné, tout à la fois par l’objet littéraire et son expérience. Pas de critique (on se fout de l’actualité du livre) mais des lieux insolites et secrets, des à-côtés, des figures décalées, oubliées ou hors-normes. Bouclard c’est aussi « Tout est vrai ou presque », une collection de non-fictions narratives francophones ; « L’Officine », une collection de beaux petits livres à tirage limité, soigneusement imprimés et façonnés, signant notre amour des curiosités littéraires ; « Récidive » qui réédite des romans d’écrivain.es francophones du XXe siècle et enfin « 109 » pour les romans contemporains de jeunes autrices et auteurs.
Maison de la Poésie de Nantes: il y a au cœur de Nantes une maison qui semble très ancienne. Ses fenêtres, cependant, sont grandes ouvertes sur le présent, sur ce qui se dit, s’écrit, se crée aujourd’hui. Le quotidien avec ses pauvres mots, ses fausses promesses et ses projets obscurs ne nous suffit pas. Il nous semble que la langue poétique toujours plus neuve et inventive, que la poésie contemporaine plus multiple que jamais, parle de notre monde, et que nous pouvons tous l’entendre, pour peu que nous le voulions.Donner à voir, à entendre, mettre en lumière la liberté de parole, donc de pensée, c’est la raison d’être de la Maison de la Poésie de Nantes.
Une carte blanche à Nantes 2/2 à l’invitation de la Maison de la poésie
En mai 2024, Papier Machine a posé ses revues à Nantes pour deux soirées carte blanche avec la revue Bouclard sur une invitation de la Maison de la poésie. Retour sur la première, le jeudi 16 mai 2024 au café restaurant Marietta.
Cette fois, Papier Machine et Bouclard ont fait « revue ». A défaut d’imprimer, nous nous sommes contenté·es d’agencer, d’inviter, de préfacer, d’écrire un ours, des biographies etc., le tout autour du thème Porte-fenêtre. Il a donc s’agit de lectures croisées entre deux complices de Papier Machine et deux complices de Bouclard. Sont venu·es lire après avoir écrit spécifiquement pour l’occasion, sur le thème de la porte fenêtre, dans l’ordre d’apparition :
Antonin Crenn écrit des récits d’apprentissage, un journal poétique sur le web et des histoires érotiques avec Guillaume Marie. Terminus provisoire (L’œil ébloui), son prochain livre à paraître, jouera de la mémoire et de la géographie.
Mona Messine, auteure et éditrice, se définit comme une écrivaine du vivant. Elle a fondé la revue poétique Débuts, fait partie du collectif féministe Poétesse Gang et milite pour la démocratisation de l’écriture et la lecture. Elle a collaboré à la revue de Bouclard éditions et y publiera bientôt son 2e roman (après le repéré Biche en 2022 aux éditions Livres Agités).
Guillaume Marie est le fondateur du collectif Pou et membre occasionnel du Projet poétique planétaire. Chez Bouclard, il signe un premier roman fantastique, poétique et érotique, Les Watères du château (2022). Son dernier ouvrage est le récit de la vie d’un saint, Je vais entrer dans un pays (Corti, 2024). Avec Samuel Deshayes, il a notamment écrit une Fin du monde (Lanskine, 2023).
Poète et performeuse de Bruxelles, Milady Renoir écrit depuis un angle antisexiste et antiraciste. Elle joue des voix et des corps dans ses performances entre provocation et séduction. Ses ouvrages de poésie sont notamment publiés aux éditions MaelstrÖm.
A la lecture des interstices : Valentine Bonomo et Lucie Combes. A la technique et à l’habillage sonore : Leslie Doumerx.
©ChamaCHEREAU
Bouclard, c’est un mot d’argot, dérivé de l’anglais book, qui désignait au XIXe une librairie. Bouclard, c’est une revue, un laboratoire, un cabinet de curiosités. Elle s’adresse à un lectorat passionné, tout à la fois par l’objet littéraire et son expérience. Pas de critique (on se fout de l’actualité du livre) mais des lieux insolites et secrets, des à-côtés, des figures décalées, oubliées ou hors-normes. Bouclard c’est aussi « Tout est vrai ou presque », une collection de non-fictions narratives francophones ; « L’Officine », une collection de beaux petits livres à tirage limité, soigneusement imprimés et façonnés, signant notre amour des curiosités littéraires ; « Récidive » qui réédite des romans d’écrivain.es francophones du XXe siècle et enfin « 109 » pour les romans contemporains de jeunes autrices et auteurs.
Maison de la Poésie de Nantes : il y a au cœur de Nantes une maison qui semble très ancienne. Ses fenêtres, cependant, sont grandes ouvertes sur le présent, sur ce qui se dit, s’écrit, se crée aujourd’hui. Le quotidien avec ses pauvres mots, ses fausses promesses et ses projets obscurs ne nous suffit pas. Il nous semble que la langue poétique toujours plus neuve et inventive, que la poésie contemporaine plus multiple que jamais, parle de notre monde, et que nous pouvons tous l’entendre, pour peu que nous le voulions.Donner à voir, à entendre, mettre en lumière la liberté de parole, donc de pensée, c’est la raison d’être de la Maison de la Poésie de Nantes.
Bouclard, c’est un mot d’argot, dérivé de l’anglais book, qui désignait au XIXe une librairie. Bouclard, c’est une revue, un laboratoire, un cabinet de curiosités. Elle s’adresse à un lectorat passionné, tout à la fois par l’objet littéraire et son expérience. Pas de critique (on se fout de l’actualité du livre) mais des lieux insolites et secrets, des à-côtés, des figures décalées, oubliées ou hors-normes. Bouclard c’est aussi « Tout est vrai ou presque », une collection de non-fictions narratives francophones ; « L’Officine », une collection de beaux petits livres à tirage limité, soigneusement imprimés et façonnés, signant notre amour des curiosités littéraires ; « Récidive » qui réédite des romans d’écrivain.es francophones du XXe siècle et enfin « 109 » pour les romans contemporains de jeunes autrices et auteurs.
Maison de la Poésie de Nantes : il y a au cœur de Nantes une maison qui semble très ancienne. Ses fenêtres, cependant, sont grandes ouvertes sur le présent, sur ce qui se dit, s’écrit, se crée aujourd’hui. Le quotidien avec ses pauvres mots, ses fausses promesses et ses projets obscurs ne nous suffit pas. Il nous semble que la langue poétique toujours plus neuve et inventive, que la poésie contemporaine plus multiple que jamais, parle de notre monde, et que nous pouvons tous l’entendre, pour peu que nous le voulions.Donner à voir, à entendre, mettre en lumière la liberté de parole, donc de pensée, c’est la raison d’être de la Maison de la Poésie de Nantes.