Numéro 2 – Trappe

16,00

Ce deuxième numéro paru au mois d’avril 2015, comprend 128 pages en papier Munken Lynx Rough 90gr et en couleur. Il est tiré à 700 exemplaires.

Au sommaire du numéro deux, dirigé d’une main de bois par le mot TRAPPE, il y a des histoires de castors pelés, du papier tue-mouche, des chemins pierreux dans des marécages lituaniens, des théories fumeuses, des égouts et des couleurs, la genèse oubliée d’un Dieu désabusé, des légos humains et des palindromes à faire pâlir un dromadaire.

  

42 contributions peuplent Papier Machine numéro 2 (dont 7 rubriques).

Ce deuxième numéro paru au mois d’avril 2015, comprend 128 pages en papier Munken Lynx Rough 90gr et en couleur. Il est tiré à 700 exemplaires.

Au sommaire du numéro deux, dirigé d’une main de bois par le mot TRAPPE, il y a des histoires de castors pelés, du papier tue-mouche, des chemins pierreux dans des marécages lituaniens, des théories fumeuses, des égouts et des couleurs, la genèse oubliée d’un Dieu désabusé, des légos humains et des palindromes à faire pâlir un dromadaire.

Parmi les trente-cinq auteurs : Eric Chauvier, anthropologue de l’ordinaire,Christine Van Acker, une des plus belles plumes de la radio belge, Eric Therer, entomologiste de la parole quotidienne, Kim Pasche, trappeur du Yukon au statut intermittent, Marine Dricot, percutant regard photographique, Rasa Alksnyte et Pieter De Wel, cuisiniers mythologues… et une volée d’autres bizarroïdes et géniaux inventeurs, écrivains, illustrateurs, architectes, sans oublier nos adoré-e-s inclassables sans-étiquettes.

Avec les contributions de :

ESLA LEVY
Elle aime à dire qu’elle n’a pas de biographie officielle (en aurait-elle d’officieuses ?). Elle a grandi à Paris dans la rue Broca, la rue des contes, et ceci explique peut-être cela. Des études de gravure à Paris, de cinéma à Genève puis à Bruxelles où elle vit encore. Avec la patience et la méticulosité d’une couturière existentielle, Elsa créé des objets, doux et délicats, qui s’installent dans le cœur de l’intimité, là où la vie se révèle toujours extraordinaire. http://elsa-levy.tumblr.com/

LUCIE COMBES
Baignée d’études culturelles où géopolitique et sociologie se mêlent allègrement à l’art, elle s’est faite tour à tour journaliste musicale, poteau de musée, chargée de mission dans le champ des arts numériques ou de l’éducation artistique. Acrobate à ses heures perdues, bricoleuse du dimanche, elle jongle entre les disciplines dans l’espoir secret de faire des noeuds dans les lignes. www.abovoab.com

CHRISTINE VAN ACKER
Christine Van Acker vit Ici, un patelin perdu dans le sud de la Belgique, sujet et objet de son dernier livre éponyme édité chez le Dilettante. De là, avec Les Grands Lunaires, elle écrit et réalise des documentaires radiophoniques savoureux. L’un d’eux parle de la chasse au chômeur, l’autre s’attache à suivre la vie intime d’un perroquet d’appartement. Ses approches, toujours discrètes, n’oublient jamais de faire mouche.

MARIE HELPIN
Directement importée des océans, elle considère la gravure comme magique et la collision des avions comme un truc assez dingue. Elle aime bien les crocodiles, même si bon, elle ne peut pas en faire son métier. Marie est une des dernières personnes du continent à utiliser des mouchoirs en tissu et lorsqu’un jour on lui a dit qu’elle était la fille au scotch, elle a répondu simplement oui. http://cargocollective.com/mariehelpin

AURELIA DESCHAMPS
Perchées sur la ligne trouble qui sépare le réalisme du quotidien et celui des rêves, ses images sont généralement composées avec une technique confrontant des masses utilisées en pochoir à l’encre typographique et un tracé fin au crayon. Elle a exposé à Bruxelles et en Italie, anime des ateliers d’arts plastiques et planche actuellement sur la création d’une exposition collective et multidisciplinaire qui verra le jour à Bruxelles courant 2016. http://aureliadeschamps.blogspot.be/

JOSEPH DEMONT
Il aurait pu naître en 1981, ou en 1988, dans une famille cosmopolite, à Alexandrie. Il aurait pu partir à Paris étudier la philosophie ou les sciences politiques, faire une thèse sur les thèmes de l’angoisse, des mouvements de foule ou de ceux de l’âme. Puis il serait rentré en Égypte participer à la « Révolution » et se tailler peu à peu une place parfaitement insignifiante dans l’espace alexandrin en tant qu’écrivain et musicien, ou autre. http://josephdemont.tumblr.com/

ERIC CHAUVIER
Éric Chauvier est un anthropologue résolument peu enclin à l’exotisme. En mars 2015, après avoir enquêté sur sa famille, une jeune femme Rom, des usines industrielles à risques, les villes périphériques et ses amis d’enfance qui votent front national, il se spécialise définitivement dans les questions relatives au malaise social, tâche épuisante mais gratifiante pour qui sait éviter la confusion, trop souvent répandue, entre vérité et sécurité.

ANTOINE DESAILLY
En pratiquant l’extraction des motifs banals du quotidien et leur répétition enivrante, Antoine Desailly utilise la page comme un enfant fait son empire d’un terrain vague. Sa capture méthodique du dérisoire nous force à prêter attention à la poésie involontaire. Diplômé de l’ENSBA Paris, il est aujourd’hui représenté par la galerie Bernard Jordan. Il est l’odeur de nos cahiers d’enfance alors détestés, aujourd’hui regrettés.  http://www.antoinedesailly.com/

RIRBAUCOUT
Rirbaucout est un collectif d’architectes dissidents, rassemblés sous la bannière de « bureau de situations ». Tirant leur nom de la station de métro Ribaucourt, ils sont passés maîtres dans l’art d’infiltrer l’espace public bruxellois. Leurs expériences proposent, à ceux qui ont l’œil assez aiguisé pour les dénicher, de questionner nos lieux de vie pour qu’ils cessent d’être de simples lieux de passage. http://rirbaucout.blogspot.be/

BORIS HENNION
Il n’a besoin d’aucun accessoire pour que sa voix discrète porte l’estocade. Affligé de la bougeotte et du vilain défaut de la curiosité, Boris travaille aujourd’hui comme dramaturge au service de Nadia Beugré et comme interprète pour le Groupenfonction, entre autres. Il crée actuellement sa première pièce, Mobile(s), un jeu performatif in situ pour cinq danseurs inspiré de la therapie comportementaliste Gestalt.

BETTY LAMOULIE
A l’âge de 8 ans, elle organise son premier musée du caillou au fond de son jardin. Après plusieurs mises en scène de spectacles de Noël et l’auto-édition de cahiers de poésie, elle approfondit sa passion du spectacle en étudiant la gestion culturelle et la dramaturgie contemporaine. Elle a depuis largement œuvré pour la cause dans les domaines de la musique et du théâtre en France et en Belgique.

MARIO BOMPART
Tombé tôt amoureux et du Stade Toulousain, et du TFC, il étudie la communication à Bordeaux puis le journalisme à Paris, pour ensuite aller poser ses valises à Valparaiso le temps de réaliser un documentaire sonore sur les personnages emblématiques de la ville. Il se dirige ensuite vers le nord, notamment le Canada, d’où il informe Libération ou Slate quant à ce qui se trame de l’autre côté de l’Atlantique.

LAURENCE SKIVEE
Elle s’arrête, s’imprègne, s’emballe, se laisse, respire et vit. Son Appartement-Atelier est un petit univers où reposent des boîtes remplies de documents, d’images, de cahiers. Parfois, elle s’emballe pour devenir une girafe, un livre ou un petit corps anonyme. Souvent elle dessine, à peine un trait, et un animal, un objet, une plante se dévoilent. Seul le mouvement l’intéresse, la ligne, comme une caresse. http://laurenceskivee.be/

AURELIE GARNIER
Habituée à se mettre dans tout un tas de situations délicates, Aurélie Garnier s’est un jour mise à noircir de ses expériences, le papier de carnets, un peu comme on se défoulerait dans un journal intime. Elle a donc développé, parallèlement à ses études aux Beaux-Arts, une approche personnelle du trait et de l’écriture. Elle est dessinatrice ou illustratrice, c’est selon. http://aurelie-garnier-illustratrice.tumblr.com/

NOEMI DEGRAUWE
D’apparence douce et tranquille, elle a un monde déchaîné dans sa tête. Elle a appris à en tirer parti à l’école Superieure de Théâtre d’Utrecht (Pays-Bas). Elle a passé les deux dernières années à sillonner l’Europe dans le cadre de stages et de projets socio-artistiques. Aujourd’hui à Bruxelles, elle enseigne, joue et met en scène, ou joue à enseigner et mettre en scène, et réciproquement ; fascinée par le jeu des enfants, parfois joyeux, parfois cruel.

GREGORY VOIVENEL
Autodidacte inspiré, imbibé de Bukowski et d’Erik Truffaz, il met son obsession pour la technique photographique au service de son regard décalé. Après avoir acheté un aspirateur de table, un rêve d’enfance, il investit enfin dans des boîtiers, objectifs et fait chauffer Photoshop. Il enseigne à l’institut supérieur des arts appliqués de Nantes et mène différents projets personnels, avec les Amarts etc et pour des commanditaires publics et privés. http://www.gregoryvoivenel.com

FRANCIS TABOURET
Ainsi que le montre le dessin ci-contre, Francis Tabouret a passé beaucoup de temps à cheval. Par contre, et contrairement à ce que l’on pourrait croire, au vu du dit dessin – que vient faire là ce fusil dans ses mains –, il n’a que rarement manipulé des armes à feu. Francis ne se rappelle pas ce qui, ce jour-là, motiva ce galop ventre à terre ni ce qui lui fit tourner la tête ainsi, au mépris de la plus élémentaire prudence.

JULIE ROUANNE
Quand elle n’explore pas le milieu de la performance micro en main pour Radio Campus Bruxelles, Julie Rouanne perturbe les rituels sociaux, met en scène des pièges de théâtre, dessine des jeux vidéos imaginaires, devient parfois volatile et se pose la question de ce qu’elle va bien pouvoir faire de vous maintenant que vous existez. En 2015 elle fonde ICI performance.

FRANCESCA MAMBELLI
Elle écrit une thèse en littérature française, enseigne l’italien et la rhétorique à Paris. Du français, elle aime (là mettre quelque chose sur le fait que ses écrivains savent qu’une virgule peut être une proposition politique). De l’italien, elle aime (là quelque chose sur le fait que c’est une langue qui prend sans cesse le risque du malentendu). De la rhétorique (et là quelque chose sur l’idée que la rhétorique enseigne ce qu’on ne dit jamais : parler, c’est difficile).

MARTIN WAUTIE
Exerçant sa créativité armé d’un crayon, d’un micro, d’une palette graphique ou d’une clé à molette, mais officiellement auteur de bande dessinée, Martin Wautié a participé au recueil 2048 (Salmigondis) et a publié en 2011 son album Super Rabbit (Manolo-sanctis). Parallèlement, il bâtit un univers musical : des bandes sonores dédiées à la bande dessinée, un groupe pop et coloré, les Gloomy Baboons, et un projet de vidéo et de chanson française, La Grande Soupe. http://martinwautie.blogspot.be/

BENJAMIN LECLERCQ
Élevé en plein air dans les Flandres françaises, il est journaliste indépendant pour la presse écrite et boit sa Jupiler avec du sirop d’orgeat dedans. Niché dans le 20ème arr. de Paris, il aime les petits oiseaux et les cachalots, ne parle pas beaucoup mais écrit très vite, dans des canards d’obédiences diverses : des pages « société » du Monde à la rubrique internationale de La Croix, en passant par Rue89 ou le mensuel des marchands de journaux.

IRENE PANZANI
Irene est née à Lucca en Italie. À sa passion pour la musique et le théâtre s’est rapidement ajoutée celle pour les arts visuels. Après une licence de philosophie à l’Université de Pise, elle s’installe à Paris guidée par son amour pour Merleau-Ponty et les Daft Punk. Elle prépare un projet de thèse sur la fenêtre entre philosophie et théorie de l’architecture. Elle aime à se perdre autour du monde, surtout en Turquie et dans le 18ème arr. de Paris. https://observatoirexpanse.wordpress.com/

EDWIN LAVALLEE
Co-fondateur de l’asbl Lettres & Carrés, Edwin œuvre à ouvrir les horizons et forger les clefs d’une pensée critique indispensable et performative. Pour cela, il construit méticuleusement la babylonienne revue numérique SANS-TITRE (.com) avec Thyl Sadow, ce labyrinthique et jouissif « non-lieu où il n’est pas question d’éducation et de culture, mais bien de poésie, de vies, de traits d’union et de points d’interrogation. » http://www.sans-titres.com/

SARA FAVRIAU
Diplômée des Beaux-Arts de Paris, elle détourne et joue avec l’espace, à plat et en volume, seule ou dans des collaborations qui l’amènent à naviguer à travers les médiums et les disciplines, de la création chorégraphique au cinéma, en passant par le théâtre. En 2014, elle récolte les lauriers : prix de la meilleure installation à la YIA Art Fair #04 et prix Découverte des Amis du Palais de Tokyo à Paris. https://sarafavriau.wordpress.com/

FRANCISCO MOSER
Francisco Moser naît dans une station balnéaire en Argentine. Hésitant entre le théâtre et le cinéma, il finit par étudier la production à Madrid, par erreur ; puis la réalisation dans une école d’art en Belgique. De nationalité italienne, il vit à Bruxelles, travaille en français et son film Martien a été sélectionné en 2014 aux côtés d’autres auteurs du cinéma flamand. Aujourd’hui, il développer Hugo Moser, un laboratoire de création audiovisuelle. http://cargocollective.com/hugomoser

VALENTINE BONOMO
Grâce à la serpette des arts, des sciences sociales et des relations internationales, Valentine Bonomo s’est frayée un chemin académique et professionnel dans les broussailles d’un cerveau curieux qui ne savait pas trancher. Née avec deux pieds, deux continents, quand elle ne joue pas à s’inventer un travail à sa mesure, elle milite activement pour une universalisation sans contrepartie de la cuisine à l’huile d’olive.

ERIC THERER
Entomologiste de la parole quotidienne, ses performances mettent en scène l’univers des friteries belges, les dédales administratifs, des narrations captées le long de la Meuse (‘Some Dark Waters’) ou encore des extraits de rapports d’expertise judicaire (‘Notices’). Il publie également des minuscules recueils de textes pauvres dont ‘De tout, de rien’, reprenant des phrases enregistrées au supermarché.

JONATHAN BLEZARD
Artiste voyageur, Jonathan Blezard a grandi à Bruxelles. Il est diplômé de La Cambre en communication graphique, ce qui lui permet de travailler dans des agences à Lisbonne ou à Beyrouth, où il vit actuellement. Parallèlement, il développe un univers explosif par le biais de l’illustration, pour enfant surtout. Son premier album est en cours de publication.  http://cargocollective.com/Blezard

RASA ALKSNTE & PIETER DE WEL
Rasa Alksnyte est professeure, danseuse-chorégraphe, cuisinière, photographe et conseillère artistique. Elle travaille actuellement au sein de Foam où elle allie l’ail et le mouvement puis dispense des cours pour enfants avec une pincée de papier photo. Pieter De Wel est actuellement occupé par le monde entrepreneurial des bits et des octets. Il est profondément convaincu que rien n’existe, que tout pourrait être, que quelque chose pourrait et beaucoup devrait. http://fo.am/

ALDWIN RAOUL
Singe de bibliothèque et flâneur systématique, il se remet à peine de sa dernière découverte : il existe huit synonymes de synonyme. Ce tragique événement l’a pourtant libéré du joug de la divinité « Amañ » (beurre en breton) auquel il vouait un amour à sens unique, une passion qui lui a coûté cher en cholestérol. Demain il découvrira des peuples imaginaires par voie radiophonique, écrira des champs et continuera de faire des excursions en journalismie.

KIM PASCHE
Kim Pasche vit la plupart du temps au Yukon entre chasse, lecture et techniques primitives. Il collabore avec plusieurs départements d’archéologie d’Europe et du Canada pour lesquels il reproduit et expérimente les outils, gestes et techniques préhistoriques afin de mieux les comprendre. Il est auteur de Arts de vie sauvage, gestes premiers aux éditions Terran et créateur de la plateforme gens des bois sur internet. http://www.gens-des-bois.org/

CLEMENT BOILEAU
Clément Boileau a étudié les sciences de la communication à Bordeaux et le journalisme à Bruxelles. Puis il a découpé du fromage dans un bar à bières, servi des Jupiler dans un bar à néons et tenté d’expliquer la nécessité d’apprendre les tables de multiplication par coeur à des enfants. Entre-temps, il a écrit sur les sujets qui l’intéressent : la justice, l’Amour, et le devenir de l’espèce humaine. Sa table préférée est, bien sûr, celle de cinq.

MARINE DRICOT
A la nuit tombée, sous une faible lueur de lampadaire, dans les ruelles résidentielles et les parkings wallons, elle capture, vêtue d’une longue parka et planquée derrière sa machine à pellicule, le monde contemporain, l’intérieur de nos maisons et le derrière de nos yeux, l’amour, l’intime et notre jeunesse avec une sensibilité tranquille. (En 2014 Marine a réalisé 365 « photos du jour » accompagnées de textes, entre fiction et réalité, vie privé et mondes fantasmés.) http://www.marinedricot.com/

EMILIE BEFFARA
Elle s’est intéressée à l’anthropologie de la musique et la sociologie urbaine au Brésil, le genre aux Açores d’où elle est revenue avec une pièce de théâtre traitant de la violence conjugale, et garde toujours sous le coude son travail sur l’identité dans nos relations avec notre enveloppe corporelle. Elle s’essaie en ce moment à la pratique de l’invisibilité.

ROMAIN CONDUZORGUES & CLARISSE GALEY
Architecte hyperactif, personne n’a jamais su laquelle des deux facettes l’emportait sur l’autre, Romain excelle dans l’art de la mezzanine et sévit avec le collectif Bellastock en construisant des villes éphémères sous contraintes (en sable, en air, en déchets, en palettes). Clarisse aime les cornichons géants, éteindre les multiprises et se passionne pour septante-six chose a la minute. Aujourd’hui c’est l’entre-aide sociale au service des logements de Seine-Saint-Denis et les marches métropolitaines.
http://www.bellastock.com/

Graphisme / OUSSEYNOU SALLA
Ousseynou Salla est graphiste, a du goût, écoute de la musique bizarre et en plus, il est sympa, et en plus il gagne des prix (Fernand Baudin 2014 pour la revue Swim, réalisée en partenariat avec les ateliers de sculpture de La Cambre). Toutes les qualités requises pour mettre en page sans se presser les affreux de Papier Machinehttp://ousseynou.fr/

Illustration / HABY BONOMO
Né un soir de printemps de 1942, au bord du Rio de la Plata, sous l’énorme ciel de Buenos Aires, il vit depuis 30 ans à Paris. Peintre itinérant, il puise son inspiration dans des motifs constants : le sous-développement perçu comme une source d’impressionnisme pictural, et les lieux communs récoltés au long des ses voyages, des images chargées d’émotion, de romantisme, d’humour. Ces clichés deviennent dans ses tableaux des paradigmes à lecture universelle. http://www.habybonomo.com/

Poids 310 g
Dimensions 19 × 27 × 1 cm
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