C’était un samedi de janvier, Papier Machine avait le feu aux couverture et investissait Un Peu avec ses revues, sa clique et ses clacs. Au menu : des performances savoureuses, une installation de rêve, une exposition délicate, un djset enflammé, un indispensable bar à couettes, un tribunal des mots, des croques, de la soupe et de la joie, beaucoup de joie ! C’était douillet et festif à souhait.
Iels ont composé le menu : – Adriel·le Cendreuil (collectif le bruit qui court, création collective spontanée Impro sexes et genre et Impro Erard) et Mathilde Schoenauer Sebag (http://duudinka.com/) pour un performance toute en viscosité ; – Arthur Lacomme pour une ouicouic lecture du Mot qui sonne ; – Nicolas Richard et Rubin Steiner pour une performance autour de la traduction de « Howl » d’Allen Ginsberg, un poème très c(h)ouette ; – un DJ set de Rubin Steiner à faire se trémousser Bruxelles tout entier.
Et parce qu’il n’y a pas que la scène dans la vie, on pouvait aussi gouter au plaisir de mettre sans tête dans la maison pop de Martin Wautié et écouter sa création sonore, planter ses yeux dans la série d’illustrations Le Somnambule de Sixtine Jacquart et contempler le dessin Tendresse Forteresse de Leïla Saïd Bounoua ainsi que deux autres de ses créations. Dans la chaleur d’une caravane il a aussi été possible de glisser ses oreilles sous un casque et d’écouter les travaux d’étudiant·es du Creadoc à qui Chloé Despax avait donné pour contrainte de créer en 3h un objet sonore à partir de contributions visuelles de Papier Machine n°13·Couette.
Cayo Scheyven et Matthieu Ha, nos hôtes, ont concocté un de leurs Has Been, la cent quatrième Mille et une Terrasse pour rendre compte de l’événement, avec un texte de Matthieu et des photos de Cayo. Pour y accéder : CLIC
Papier Machine a lancé sa couette à UN PEU à Bruxelles
C’était un samedi de janvier, Papier Machine avait le feu aux couverture et investissait Un Peu avec ses revues, sa clique et ses clacs. Au menu : des performances savoureuses, une installation de rêve, une exposition délicate, un djset enflammé, un indispensable bar à couettes, un tribunal des mots, des croques, de la soupe et de la joie, beaucoup de joie ! C’était douillet et festif à souhait.
Iels ont composé le menu :
– Adriel·le Cendreuil (collectif le bruit qui court, création collective spontanée Impro sexes et genre et Impro Erard) et Mathilde Schoenauer Sebag (http://duudinka.com/) pour un performance toute en viscosité ;
– Arthur Lacomme pour une ouicouic lecture du Mot qui sonne ;
– Nicolas Richard et Rubin Steiner pour une performance autour de la traduction de « Howl » d’Allen Ginsberg, un poème très c(h)ouette ;
– un DJ set de Rubin Steiner à faire se trémousser Bruxelles tout entier.
Et parce qu’il n’y a pas que la scène dans la vie, on pouvait aussi gouter au plaisir de mettre sans tête dans la maison pop de Martin Wautié et écouter sa création sonore, planter ses yeux dans la série d’illustrations Le Somnambule de Sixtine Jacquart et contempler le dessin Tendresse Forteresse de Leïla Saïd Bounoua ainsi que deux autres de ses créations. Dans la chaleur d’une caravane il a aussi été possible de glisser ses oreilles sous un casque et d’écouter les travaux d’étudiant·es du Creadoc à qui Chloé Despax avait donné pour contrainte de créer en 3h un objet sonore à partir de contributions visuelles de Papier Machine n°13·Couette.
Cayo Scheyven et Matthieu Ha, nos hôtes, ont concocté un de leurs Has Been, la cent quatrième Mille et une Terrasse pour rendre compte de l’événement, avec un texte de Matthieu et des photos de Cayo. Pour y accéder : CLIC