L’amour en avril 2016, avec Kompost dans le cadre de leur résidence à La Bellone
“Comment « circulent » les langages et les approches (artistiques, théoriques, mystiques, mythologiques ou politiques…) lorsqu’ils se branchent à la question amoureuse? Qu’est ce que l’amour donne à écrire? Qu’est ce que l’amour donne à inscrire ? ancrer ? faire durer ? En une séquence où le « réalisme politique » nous demande de réagir à une supposée haine nouvelle, kom.post trace une ligne oblique en direction de ce qui, en nous, est encore peut-être en mesure de proposer non des réponses, mais des questions sans anticipation : le sentiment amoureux. En un temps où l’urgence et l’austérité mènent la danse, cette soirée invite à bouger autrement et à prendre le temps de savourer, sans économie le choc des hétérogènes et des improbables. « Nous sommes au tout début vois-tu?”
Kompost est un collectif interdisciplinaire, qui se pense comme un processus de créations répétées, non orienté par une fin productive unique, et devant sans cesse repenser ses formats et outils en regard des contextes (géographiques, sociétaux, politiques) dans lesquels il intervient.
Pour sa résidence à la Bellone, autour des Dramaturgies Circulaires, le collectif a sollicité Valentine Bonomo de Papier Machine et Jérôme Poloczek, proche collaborateur, pour concevoir un établi éditorial, procédé d’édition in situ et participatif, destiné à recueillir tout au long de la soirée des idées, impressions, réflexions et sentiments des participants, constituant ainsi une trace et une base de travail pour le reste de la résidence.
L’amour acte 1 – dramaturgies circulaires
L’amour en avril 2016, avec Kompost dans le cadre de leur résidence à La Bellone
“Comment « circulent » les langages et les approches (artistiques, théoriques, mystiques, mythologiques ou politiques…) lorsqu’ils se branchent à la question amoureuse? Qu’est ce que l’amour donne à écrire? Qu’est ce que l’amour donne à inscrire ? ancrer ? faire durer ? En une séquence où le « réalisme politique » nous demande de réagir à une supposée haine nouvelle, kom.post trace une ligne oblique en direction de ce qui, en nous, est encore peut-être en mesure de proposer non des réponses, mais des questions sans anticipation : le sentiment amoureux. En un temps où l’urgence et l’austérité mènent la danse, cette soirée invite à bouger autrement et à prendre le temps de savourer, sans économie le choc des hétérogènes et des improbables. « Nous sommes au tout début vois-tu?”
Kompost est un collectif interdisciplinaire, qui se pense comme un processus de créations répétées, non orienté par une fin productive unique, et devant sans cesse repenser ses formats et outils en regard des contextes (géographiques, sociétaux, politiques) dans lesquels il intervient.
Pour sa résidence à la Bellone, autour des Dramaturgies Circulaires, le collectif a sollicité Valentine Bonomo de Papier Machine et Jérôme Poloczek, proche collaborateur, pour concevoir un établi éditorial, procédé d’édition in situ et participatif, destiné à recueillir tout au long de la soirée des idées, impressions, réflexions et sentiments des participants, constituant ainsi une trace et une base de travail pour le reste de la résidence.