Entre mars et mai 2021, prenant le hasard pour boussole et un micro comme équipement, l’Académie des solitudes a entrepris de documenter son sujet dans les cantons de l’Est du Royaume de Belgique. Elle y a recueilli une série de remarques, commentaires et récits d’expériences, guidée implicitement par un outil bancal, un questionnaire à choix multiple, lacunaire et orienté où – une fois n’est pas coutume – ce ne sont pas les réponses mais bien les questions, posées après coup, qui se révèlent souvent hors-sujet.
Il y est question de rotifères (oui oui), de petits coins, de bruits de frigo, de merle à plastron, de divorce, de salles d’opération, de juke box et de bien d’autres choses encore où les voix de nos rencontres se mêlent aux mots de nos lectures.
L’Académie des solitudes a été créée en partenariat avec les bibliothèques de Waimes et de Malmedy dans le cadre de l’opération « Un Futur pour la Culture » de la Fédération Wallonie-Bruxelles.
La Sonothèque de l’Académie des Solitudes
Entre mars et mai 2021, prenant le hasard pour boussole et un micro comme équipement, l’Académie des solitudes a entrepris de documenter son sujet dans les cantons de l’Est du Royaume de Belgique. Elle y a recueilli une série de remarques, commentaires et récits d’expériences, guidée implicitement par un outil bancal, un questionnaire à choix multiple, lacunaire et orienté où – une fois n’est pas coutume – ce ne sont pas les réponses mais bien les questions, posées après coup, qui se révèlent souvent hors-sujet.
Il y est question de rotifères (oui oui), de petits coins, de bruits de frigo, de merle à plastron, de divorce, de salles d’opération, de juke box et de bien d’autres choses encore où les voix de nos rencontres se mêlent aux mots de nos lectures.
L’Académie des solitudes a été créée en partenariat avec les bibliothèques de Waimes et de Malmedy dans le cadre de l’opération « Un Futur pour la Culture » de la Fédération Wallonie-Bruxelles.