Le Grand N’importe Coin, c’était au Labokube. Nous avons fêté le mot COIN, et la sortie du 4ème numéro de Papier Machine. A cette occasion, ont été créés et proposées des performances et installations dont La charade mémorielle de Jonathan Ortegat.
“Une caméra posée en trois endroits, trois coins dans la simplicité de leur quotidien, où défile la vie pendant trois fois une demi-heure. Lors du lancement de Papier Machine n°4 – Coin, ces trois « blocs de vie » ont été projetés sur un coin construit pour l’occasion, elle a défilé sous nos yeux, éveillant la curiosité des spectateurs et les renvoyant à leurs souvenirs et à leur connaissance de l’histoire de Bruxelles. Ou pas…”
Mon premier est un coin tragique.
Mon second est un coin tragique.
Et mon tout est la définition de ce qui est mémoriel.
La charade mémorielle de Jonathan Ortegat
Le Grand N’importe Coin, c’était au Labokube. Nous avons fêté le mot COIN, et la sortie du 4ème numéro de Papier Machine. A cette occasion, ont été créés et proposées des performances et installations dont La charade mémorielle de Jonathan Ortegat.
“Une caméra posée en trois endroits, trois coins dans la simplicité de leur quotidien, où défile la vie pendant trois fois une demi-heure. Lors du lancement de Papier Machine n°4 – Coin, ces trois « blocs de vie » ont été projetés sur un coin construit pour l’occasion, elle a défilé sous nos yeux, éveillant la curiosité des spectateurs et les renvoyant à leurs souvenirs et à leur connaissance de l’histoire de Bruxelles. Ou pas…”