Du 19 mars au 19 avril, Papier Machine et Sébastien Gairaud, exposent les dessous, les derrières, les gloires et les ratés de huit ans de collaboration au Comptoir du livre à Liège.
La revue est un espace de connexions et de surprises, où l’on ne craint pas de passer du coq à l’âne ou de frôler l’absurde. Dans ses pages, les mots ont la part belle, les images prennent l’air. Le graphisme est la clé de voûte et le ciment de cet univers hybride, de cet objet imprimé qui vise la convivialité et, ayons peur des mots (mais pas trop), la beauté.
En plus de l’expo, Valentine Bonomo a animé la sixième édition du Poetic Lab en invitant les étudiant•e•s de B2 de la Haute école Charlemagne à interroger ce que « Dire mot» veut dire après avoir organisé la visite de l’exposition et une session d’écoute du documentaire sonore Sous la langue d’Aurélien Caillaux et Lucie Combes sur la polyglossie. L’atelier a pris la forme d’un Tribunal des mots.
De lignes et de points s’en va à Liège, au Comptoir du Livre
Du 19 mars au 19 avril, Papier Machine et Sébastien Gairaud, exposent les dessous, les derrières, les gloires et les ratés de huit ans de collaboration au Comptoir du livre à Liège.
La revue est un espace de connexions et de surprises, où l’on ne craint pas de passer du coq à l’âne ou de frôler l’absurde. Dans ses pages, les mots ont la part belle, les images prennent l’air. Le graphisme est la clé de voûte et le ciment de cet univers hybride, de cet objet imprimé qui vise la convivialité et, ayons peur des mots (mais pas trop), la beauté.
En plus de l’expo, Valentine Bonomo a animé la sixième édition du Poetic Lab en invitant les étudiant•e•s de B2 de la Haute école Charlemagne à interroger ce que « Dire mot» veut dire après avoir organisé la visite de l’exposition et une session d’écoute du documentaire sonore Sous la langue d’Aurélien Caillaux et Lucie Combes sur la polyglossie. L’atelier a pris la forme d’un Tribunal des mots.