Le projet est monumentalement bancal mais la démarche on ne peut plus sérieuse : considérant que l’on met tout et son contraire sous le chapeau d’un seul mot (Solitude), Papier Machine a décidé de créer une Académie des solitudes pour mieux générer discussions et débats, polémiques et fracas, faire le tri dans nos intuitions désordonnées, et finir par créer un centre de ressources sonores et publier un livre. Le tout, selon une méthode hautement anticlopédique, sans avoir peur de partir dans toutes les directions, et d’arpenter les sentiers des Solitudes en bonne compagnie.
L’Académie des solitudes promeut une construction non-hiérarchisée des savoirs et pour cela met en place une démarche participative dans sa collecte de connaissances, considérant que, quelques fois à nos dépends, nous sommes toustes expert·es de nos solitudes.
C’est pourquoi en ce mois de mai 2021, Papier Machine a posé ses dictionnaires deux semaines durant entre les bibliothèques de Waimes et Malmedy. Durant cette première résidence, dédiée à la documentation, nous avons récolté mots et anecdotes lors de nos permanences, fait jaillir les îles désertes des imaginaires d’enfants au cours d’ateliers, passé quelques heures bavardes en très bonnes compagnies entre homes et forêts, enrichissant notre réflexion, sans oublier de sortir par moment nos micros pour alimenter notre centre de ressources sonores sur les Solitudes.
Prochaine étape : mise en ligne de la sonothèque des Solitudes et résidence d’écriture avant publication.
Résidence anticlopédique sur les Solitudes, à Waimes et Malmedy
Le projet est monumentalement bancal mais la démarche on ne peut plus sérieuse : considérant que l’on met tout et son contraire sous le chapeau d’un seul mot (Solitude), Papier Machine a décidé de créer une Académie des solitudes pour mieux générer discussions et débats, polémiques et fracas, faire le tri dans nos intuitions désordonnées, et finir par créer un centre de ressources sonores et publier un livre. Le tout, selon une méthode hautement anticlopédique, sans avoir peur de partir dans toutes les directions, et d’arpenter les sentiers des Solitudes en bonne compagnie.
L’Académie des solitudes promeut une construction non-hiérarchisée des savoirs et pour cela met en place une démarche participative dans sa collecte de connaissances, considérant que, quelques fois à nos dépends, nous sommes toustes expert·es de nos solitudes.
C’est pourquoi en ce mois de mai 2021, Papier Machine a posé ses dictionnaires deux semaines durant entre les bibliothèques de Waimes et Malmedy. Durant cette première résidence, dédiée à la documentation, nous avons récolté mots et anecdotes lors de nos permanences, fait jaillir les îles désertes des imaginaires d’enfants au cours d’ateliers, passé quelques heures bavardes en très bonnes compagnies entre homes et forêts, enrichissant notre réflexion, sans oublier de sortir par moment nos micros pour alimenter notre centre de ressources sonores sur les Solitudes.
Prochaine étape : mise en ligne de la sonothèque des Solitudes et résidence d’écriture avant publication.